11 février 2008

Le Rêve de Balthus - Nathalie Rheims

Fayard - Léo Scheer (2004)
Folio (2007)
(117 pages)





« Léa se réveille en sursaut. Dans l'immeuble d'en face, elle entrevoit un grand tableau, à peine éclairé. La toile représente deux jeunes filles, l'une endormie sur un canapé, l'autre penchée au-dessus d'elle, une rose jaune à la main. Léa reconnaît la scène du cauchemar qui l'a réveillée et se souvient de cette phrase énigmatique prononcée par son père disparu : « Tout est dans Le Rêve de Balthus. »

C'est le commencement d'un parcours initiatique, de Paris à Venise, celui d'une confrérie qui tend à percer les secrets de l'immortalité.

Chef-d'oeuvre de la peinture du XXe siècle, Le Rêve de Balthus devient ici le personnage principal d'un roman, qui nous fait remonter le temps jusqu'à la Renaissance italienne, à la poursuite, dans les oeuvres d'art, de la vérité et de la beauté.
»

(4ème de couverture)


Hum... que dire ? Je suis bien embêtée car j'avais adoré le dernier livre de Nathalie Rheims, celui grâce auquel je l'ai découverte : Journal intime. Emballée par cette lecture, un jour que je me promenais (innocemment, vous vous doutez bien) à la FN@C, je me suis laissée tenter par ce titre, Le Rêve de Balthus, car il faisait moins de 120 pages et que c'était un roman (Journal intime est plutôt une auto-fiction).

Je crois que ce jour-là, j'aurais mieux fait de passer mon chemin...

Bah oui, car là, j'avoue que je n'ai rien compris à ce roman. Je serais bien en peine de vous en dire plus que le 4ème de couverture. Je peux juste vous dire que je suis complètement passée à côté ! Je n'ai pas rien compris à l'histoire. Enfin si, quelques brides, mais je n'ai pas compris la philosophie derrière, ce que l'auteur a voulu nous montrer. Les personnages ne m'ont pas convaincu. Le côté fantastique du roman ne m'a pas convaincu. Je crois que rien ne m'a vraiment convaincu. Je crois que je n'étais pas la bonne lectrice pour ce genre de roman. Oui, car même si je n'ai rien compris, je reste persuadée (quoique pourra en dire Fashion) que certaines personnes sont plus sensibles à ce genre de littérature où il faut se creuser les méninges, réfléchir pour retirer la vraie saveur d'un roman. Pour moi, il faut que la compréhension du livre soit immédiate, sinon je me perds...

Mais ce n'est pas pour autant que je vais laisser tomber Nathalie Rheims car il y a encore plein d'autres de ses livres à découvrir ! Je vais juste être plus prudente lors de mes tribulations en librairie... ;-)

Edit de 13h14 :
Retrouvez aussi l'avis de Clarabel qui était autant dans le brouillard que moi lors de cette lecture ! ;-)

7 commentaires:

Anonyme a dit…

Ben quoi, qu'est-ce que j'ai dit moi encore ? :)) Ah, que si on ne comprend pas un roman c'est qu'il est juste incompréhensible ? Ben oui, je le maintiens : un auteur qui ne se fait pas comprendre par TOUT le monde n'est pas un bon auteur... (surtout quand c'est une lectrice aguerrie comme toi qui fait cet aveu)

Caro[line] a dit…

@ Fashion : Je maintiens moi aussi. :-) J'ai beau beaucoup lire, il y a encore des lectures qui restent obscures pour moi !

On peut aussi ne pas comprendre un roman car on en fait une lecture peu attentionnée car on n'est pas in the right mood. Ou alors parce que le sujet nécessite une attention qu'on ne peut pas apporter à ce moment-là. Etc etc etc.

Je maintiens donc. :-D

Anonyme a dit…

Caroline, je te rejoins dans ton brouillard parce que j'ai lu aussi ce livre et je n'ai tout compris non plus ... :))

Par contre j'ai compris que je n'allais pas relire cet auteur de sitôt ! :p

(( Pour info, mon avis avait été posté sur zozone. ))

Anonyme a dit…

Dommage que ni toi ni Clarabel n'ayez apprécié, le 4e de couverture semblait alléchant! Je vais donc passer!!! Mon petit cerveau réfléchit ben en masse au bureau ces temps-ci!

Caro[line] a dit…

@ Clarabel : Je viens de retrouver un billet sur ton blog actuel où tu parles de ce livre !
Je te recommande quand même, malgré ce lourd brouillard, de lire Journal intime de Nathalie Rheims. Le genre est totalement différent, mais on retrouve cette même écriture. Un de mes coups de coeur 2007 !

@ Karine : :-)))

Anonyme a dit…

:) oulà ...sais tu que PPD a été pendu pour avoir affirmé que Journal Intime était de "l'auto fiction", c'est un roman pouint. :)

Je ne l'ai pas encore fini, j'accroche pas des masses a vrai dire.

...to be continued...

bizz

Caro[line] a dit…

@ Fafa : Ok, c'est un roman. Si c'est ce qui se dit... ;-) (Mais moi, je me souviens très bien qu'elle m'a dit que c'était une auto-fiction !)

Cette lecture me fait un peu appréhender celle de L'ombre des autres, un autre de ses romans... enfin on verra !